Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 23:19

Mon enfance, mes blessures,  mes souffrances, mes épreuves, mon passé......

 


Mon corps a été bafoué

Mon corps d'enfant a été saccagé

Mon intimité d'enfant a été bafouée

Mon développement physique a été saccagé

Mon masculin a été bafoué

Ma sexualité a été bafouée

Le plein développement de mon corps d'homme a été saccagé

Ma capacité d'expression a été bafouée

Mon expansion a été bafouée

Mes capacités de communication et d'échange ont été bafouées

Mon épanouissement, ma spontanéité, ma vie a été bafouée



Pendant toutes ces années, et pendant 22 ans :

 

Je n'ai connu que frustration, restriction, m'interdisant tout plaisir

J'ai été étouffé pendant toutes ces années dans mon corps, dans mon cœur, dans ma tête

Je me suis senti oppressé où que je sois, avec au fond une déchirure terrible

Je me sentais sâle, honteux, plein de culpabilité

Je me sentais bon à rien


Incapable d'avoir une érection, incapable de toucher quelqu'un d'autre, je n'avais pas de corps,

j'avais peur de mon corps, peur du corps de l'autre, peur de l'intimité

Pour moi le sexe était synonyme de souffrance,  de violence

Pour moi le sexe dans ma conception d'enfant, c'était un bourreau et une victime

Le sexe était quelque chose de diabolique, une torture, un anéantissement, l'horreur, un saccage

Pendant toutes ces années, j'avais au plus profond de moi l'équation :

Sexe = viol = violence = souffrance = anéantissement = Mort

L'énergie sexuelle faisant partie de l'énergie de VIE, mon équation était :

Vie = viol = violence = souffrance = anéantissement = Mort

J'ai découvert pendant toutes ces années, que je pouvais avoir un corps, et que ce corps était mort,

je me sentais étouffé à l'intérieur de moi

Au fil de mon évolution, je pensais que je devais subir dans le rapport sexuel

Je rejouais dans ma tête ce scénario sans pouvoir l'extérioriser ou l'exorciser

Ligoté  et terrorisé, je ne pouvais pas exprimer ma sexualité


Toute cette violence je l'ai gardée pendant très longtemps au plus profond de moi

Cette violence, je l'ai retournée contre moi

Incapable de ressentir du plaisir avec mon sexe et mon corps

Mutilation, exil, isolement, abandon, je me sentais si démuni, si dépourvu

Impuissant sexuellement, impuissant dans ma vie

Je me sentais terriblement seul


La vie sur terre étant terrible pour moi, j'ai cherché refuge dans le « ciel »

Pour trouver purification, guérison, et pureté

Je communiquais plus avec l'au-delà qu'ici sur terre    

 

 

Même si cela est beau, il y a quelque chose de terrifiant de se sentir coupé pour ainsi dire, et de se sentir

connecté sur d'autres plans, dans une impuissance terrible et coupé de son corps et de la vie sur terre.

Je me sentais en décalage complet avec la réalité, étant enfermé en moi

Je ne me sentais pas en prise avec la réalité

Incapable d'avoir une influence sur l'extérieur, dans une espèce d'impuissance totale

De faire des choix, d'agir, de faire...

L'action me paralysait, l'action pour moi me terrifiait,  j'avais terriblement peur, je me sentais coupable

d'agir dans un manque de confiance terrible


Ma force de vie a été ensevelie par une violence corporelle, sexuelle, psychologique d'un père

sur l'enfant que j'étais

Ma vie a été volée, mon « pouvoir » a été volé, j'ai été « vidé » de ma force de vie

Je me suis culpabilisé pendant longtemps de vivre

Ce que j'ai subi est une expérience, et j'ai donc eu peur pendant longtemps d'expérimenter la vie,

car toute expérience ne pouvait qu'être traumatisante


J'avais peur de « bouger » mon corps étant « mort »

Mes quelques relations n'ont été que souffrance

A la découverte de ma sexualité, je rencontrais ma propre souffrance et me faisais rejeter et abandonner

Je n'ai pas connu pour le moment une vraie sexualité

Je me suis détesté, haï  pendant toutes ces années, dans un dégoût de mon corps et de moi-même

Je n'aimais pas mon corps, je me sentais si ridicule et tellement mal dans ma peau

Renié enfant, je me suis renié pendant toutes ces années rejouant ainsi les programmations reçues

Et je me suis complètement identifié inconsciemment à mon enfant intérieur blessé


Pendant toutes ces années, je ne me  sentais pas, je ne sentais pas mon corps,  je me sentais mal

dans mon corps, je n'avais pas d'identité

Un homme m'ayant anéanti, j'ai inconsciemment refusé de grandir, et suis resté « enfant »

Interprétant le viol comme une punition, je me suis auto-puni durant toutes ces années

Ma chair, mon corps, mon cœur ont été mortifiées


Je n'avais pas d'existence, pas de besoins, coupé de mes désirs, de mes intentions

Je ne pouvais pendant des années même plus penser par moi-même, je me focalisais sur l'énergie de

violence qui était pour ainsi dire cristallisée en moi ... cette violence cristallisée prenait toutes mes énergies

Je n'arrivais même plus à penser par moi-même comme figé dans ma tête et dans mon corps

Je n'arrivais même plus à ressentir

J'étais mort pour ainsi dire

Manque de confiance, incapable de m'affirmer de peur de me faire entendre


Perdu mon identité,

Car enfant, je n'avais pas de place à part les viols, la violence, le silence, l'alcoolisme, la peur, les moqueries,

les humiliations, les disputes, les non dits, la non communication, le non amour

C'est ce qu'il me reste de mon enfance au niveau de ma famille, rien d'autre

Ma joie et ma spontanéité ont été enterrées au plus profond de moi, le rire n'existait pas, les relations

de pouvoir, de destruction étaient ma vie dans ma propre famille


Ma vie de famille a été une tristesse, un malheur, une douleur


J'avais peur des gens de peur qu'on m'agresse

En présence de gens, je me sentais nul, inférieur, apeuré par  toutes relations, générant des doses

d'angoisses terribles

J'étais  terrorisé, terrifié par les contacts humains

Toutes mes relations, toute ma vie  étaient tronquées polluées par mon passé blessé

J'étais en permanence sur la défensive, bloqué dans tout mon être

Pendant longtemps je n'osais pas vraiment être en relation, j'avais l'impression que tout le monde savait

et j'avais  honte

En situation de relations, je me sentais en insécurité totale

J'étais terrifié à l'idée de me retrouver seul avec quelqu'un

Je ressentais que n'importe qui pouvait rentrer dans mon corps, dans mon intimité, dans mes énergies

pour me mettre à néant, pour me faire du mal, me tuer  


J'ai été dépossédé de moi-même, de mon corps, de mon sexe pendant toutes ces années,

et n'importe qui pouvait me « posséder », tombant dans une espèce de paranoïa terrible

où l'autre était une véritable menace pour moi

Extrêmement fragilisé, j'étais fragile psychologiquement et fragile dans mon corps

Je me sentais tout petit

J'avais tellement peur que je me suis barricadé, je me suis étouffé moi-même,

Je me suis recroquevillé au plus profond de moi, je me suis fait tout petit au fond de moi

Refusant de grandir

Voulant protéger mon enfant intérieur, je me suis coupé de tout


Mon énergie masculine a été anéantie dans son développement

Pendant toutes ces années, j'ai refusé d'être un Homme

Car j'assimilais l'homme à la violence, au non respect de l'autre (à fortiori  à l'enfant que j'ai été),

au rapport de force, à la destruction. Si je devenais homme, j'avais peur de détruire

J'avais peur d'être un homme de peur que je fasse du mal et çà je me le refusais

Pendant toutes ces années, j'ai refusé ma sexualité, mon sexe, mon corps

Car j'assimilais le sexe de l'homme à viol, violence, saccage

Dégoûté, écoeuré par le sexe de l'homme, j'ai été dégoûté, écœuré de mon propre sexe

L'impact était tellement fort, et ma croyance si tenace, que j'ai donné raison à cette croyance

J'ai refusé et me suis coupé de toutes mes énergies masculines, donnant ainsi la place aux cortèges

de névroses et de peurs qui ont été miennes pendant toutes ces années


Anéanti par mon propre père, je me suis senti abandonné, rejeté par mes propres parents

Mal aimé, je considérais que personne ne m'aimait et que je ne méritais pas d'aimer, et d'être aimé ;

pire, je ne méritais pas d'être en compagnie avec autrui


La peur pouvait être tellement forte que je n'arrivais plus à penser, comme paralysé sur tous les plans

Il m'arrivait même de ressentir comme des décorporations en présence de gens

Comme incapable de communiquer,

Communication rimait avec violence à l'intérieur de moi


Pendant longtemps, j'avais mal à mon  corps, j'avais mal à mes organes, des douleurs terribles

qui me rongaient comme de l'intérieur

Ma gorge a été ligotée ne pouvant plus m'exprimer librement

Le silence en présence d'autrui me faisait mal, peur qu'on me fasse du mal

Tous mes organes vitaux au niveau du ventre, du bas ventre, et de mon sexe ont été étouffés,

l'énergie ne circulait plus, mes organes ne respiraient plus vraiment, tout mon corps a été déséquilibré,

anéanti dans son fonctionnement, j'ai été coupé en deux

Mes pieds n'ont pas grandi, ils sont restés à la taille d'un enfant de 10 ans

Toutes mes capacités, mes ressources,  étaient  comme coincés

Pendant toutes ces années, je me suis senti ligoté, comme rigidifié sur tous les plans

Je voulais partir, disparaître, fuir, mourir  tellement la douleur était grande


Quel cauchemar de sentir toute mon énergie de vie bloquée au fond de moi avec une conscience aussi

exacerbée qu'est la mienne

Quel cauchemar de sentir tout mon énergie sexuelle bloquée avec une conscience aussi

exacerbée qu'est la mienne


Je me masturbais des heures durant, névrosé, triste, voyant que rien ne fonctionnait

Je ne ressentais pas mon sexe, je n'ai jamais connu d'orgasme

Mon sexe était anéanti, toute mon énergie bloquée

Mes érections n'étaient pas des érections, mon pénis ne pouvait se rigidifier normalement


J'ai vécu durant des années recroquevillé sur moi                                                                     

Isolé, me sentant pas normal, honteux de mon corps, sans aucune sensation

Isolé du monde, isolé de mon corps, je me sentais déchiré au fond de moi

Coupé du monde extérieur,  dans l'incapacité de communiquer normalement, angoissé par l'extérieur

Je me sentais à l'intérieur de moi cassé en mille morceaux

Seules  mes thérapies me donnaient de l'espoir d'une libération de tous ces mal-être

Par moment le désespoir m'envahissait au risque de me faire perdre la face

La douleur était tapie au fond, mon corps déchiré

Si je devais revivre ce que j'ai vécu pendant ces 22 ans, je ne pourrais pas, je préférerais mourir

Je me demande parfois comment je ne suis pas parti à la dérive tellement j'ai souffert


Toutes mes libérations, toutes les victoires obtenues sur moi-même je les ai acquises au prix

de combats terribles

Toutes mes libérations ont été des accouchements difficiles, à chaque fois un accouchement libérateur

dans une souffrance terrible


Seul l'espoir de ma  libération me permettait de tenir debout

 


Pendant ces dernières huit années, je me suis attaché à recoller les morceaux cassés

et à me reconstruire de l'intérieur

J'ai survécu pendant toutes ces années à la recherche de mon âme, de mon identité perdue,

à la recherche de mon corps, à la recherche de mon Amour, à la recherche de ma libération

Je suis allé au fond de moi, je n'avais pas le choix, emmuré en moi, j'ai eu le temps d'aller me visiter

et d'aller au plus profond de moi

Je n'avais qu'une porte, la porte intérieure, ma porte...

La foi, la lumière, la recherche de la vérité, la recherche de ma libération m'a porté jusqu'à aujourd'hui


Je me suis beaucoup nettoyé, libéré, guéri, pardonné, et je demande ma libération

(un grand nettoyage pour ainsi dire pour nettoyer encore ce qu'il convient de nettoyer),

car je sens encore fond de moi un verrou, un blocage.

Je ne me sens pas homme encore vraiment, mon énergie masculine me fait encore défaut,

je me sens encore « limité », bloqué....

Je souffre énormément aussi de ne pas vivre une sexualité normale ayant encore

des dysfonctionnements sur ce point.

J'aimerais tellement pouvoir exprimer ma sexualité dans l'amour et la joie que j'en pleure.

J'aimerais tellement pouvoir exprimer ma sexualité dans le flot de mon énergie,

le tout naturellement du monde.

Je suis encore coupé de toute cette force en moi, cette force qui ne peut se libérer pourrait me faire perdre

la face, tellement toute cette force veut être libérée et qu'elle est encore bloquée !

J'aimerais tellement pouvoir vivre ma sexualité, ma  sensualité, dans un plein épanouissement.

La sexualité est la vie même, c'est l'énergie de vie. Quelle magnifique expérience de pouvoir exprimer

et faire partager ce beau cadeau de la vie !

J'ai 42ans ! De 20 ans à 42 ans j'aurai souffert le martyr à l'intérieur de moi !


Aujourd'hui pour moi c'est fini,

je souhaite vraiment devenir un Homme

(enfin !!)



JE SOUHAITE de tout mon cœur et de toutes mes forces :


-          extérioriser mes énergies, ce que je suis

-          que le flot de ma vie coule à nouveau dans mon être, dans tout mon corps, dans tous mes organes,

           dans toutes mes cellules

-          que tous mes potentiels soient libérés

-          être en prise avec la réalité, le réel, le concret

-          Libérer et vivre mes énergies sexuelles dans la joie et l'amour

-          Libérer et vivre toutes mes énergies de vie

-          Libérer et vivre mes énergies masculines

-          Libérer mon enfant créateur, libérer ma spontanéité, ma joie

-          m'affirmer en tant qu'homme

-          prendre ma place d'homme

-          vivre ma vie d'homme

-          sentir mon corps d'homme

-          sentir toutes mes énergies circulées librement

-          être dans ma puissance, ma force

-          me sentir uni, construit, confiant,

-          faire et agir dans la matière en toute confiance

-          Accepter et assumer mes choix, mes actions, mes besoins, ma vérité, ma vie

-          avoir des intentions claires pour vivre ma vie

-          être dans la joie, dans mon plein épanouissement

-          Communiquer librement dans la légèreté

-          vivre l'Amour, vivre les plaisirs de la vie dans le bonheur et la joie

-          Aimer et être aimé (enfin !)

-          être à l'écoute  et connecté à moi-même pour être enfin moi-même



Je prie Dieu pour que je me libère ici et maintenant.

Mon âme, mon cœur, et mon corps le souhaite de toutes leurs forces !

Du fond de mon âme et de mon cœur, je demande de l'aide pour me libérer !

Qu'il en soit ainsi !

Que Dieu me bénisse...

JE VEUX VIVRE  HEUREUX !

Merci !

 


 

 

Je suis heureux d'avoir pu formuler toute ma souffrance

qui a été mienne jusqu'à aujourd'hui, sur cette feuille.

C'est une prise de conscience, une reconnaissance

de toutes mes souffrances vécues et ressenties dans tout mon Etre.

Pendant toutes ces années, ce que j'ai pu pleurer, ce que j'ai pu souffrir,

seul dans mon coin, isolé.

Ma tristesse, ma souffrance, ma solitude étaient présentes en permanence.

Aujourd'hui, j'ose crier ma souffrance, je la dit, je l'exprime.

C'est une première, car cet article est la synthèse de toutes mes souffrances,

mes déchirures, mes blessures.

Je suis heureux de diffuser ce texte.

Et de ma souffrance va jaillir ma joie de vivre.

Vive la Vie, Vive l'Amour !


 

 

14.08.08

Hanael


 

Repost0
25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 18:20




 L'essentiel ...

... est de naître à soi-même

... Et de n'Etre que Soi-Même


NAITRE A L'HOMME QUE JE SUIS .....



Enfant saccagé j'ai été

Homme coloré je suis


Corps détruit j'ai été

Corps magnifié je suis


Enfant rejeté j'ai été

Homme aimé je suis


Enfant coupé j'ai été

Homme unifié je suis


Enfant  mal aimé j'ai été

Homme aimant je suis


Enfant non reconnu j'ai été

Homme reconnu je suis


Corps violenté j'ai été

Corps beauté je suis


Enfant frustré j'ai été

Homme des sens je suis


Enfant ligoté j'ai été

Homme libre je suis


Enfant violé j'ai été

Homme d'Amour je suis


Victime j'ai été

Créateur je suis


Mort j'ai été

Vivant je suis !

 

 


 

 


 

Hanael

 

Repost0
9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 16:49

Cela fait quelque temps déjà que je vis des choses difficiles et
malgré la force de vie qui m'habite et dont j'ai déjà parlé sur ce blog,
il m'arrive, comme à tout le monde, d'avoir des passages à vide
où les ressources tant physiques que morales s'épuisent petit à petit
 et les énergies s'amenuisent.

Bien sûr cela fait partie du chemin de toute personne qui est sur la Voie.

Mais, arrivé à un certain stade de souffrance
(physique et émotionnelle),
 il faut alors avoir le courage et l'humilité de reconnaître
 qu'on ne s'en sortira pas seul et demander une aide extérieure.


Et comme vous le savez, si vous avez déjà lu d'autres articles que j'ai écrits,
 je ne considère pas la spiritualité comme un refuge.
 Bien que souvent je demande de l'aide à l'Univers et à mes anges gardiens et
 maîtres, je n'attends pas d'eux qu'ils solutionnent tous mes problèmes.
 J'affronte les épreuves (c'est ma partie féminine qui accueille et accepte)
 et tente de les surmonter seule
 (c'est ma partie masculine qui me pousse à l'action).

Hier, j'ai néanmoins consulté une personne utilisant des méthodes
 psycho-corporelles et énergétiques (équilibrage des énergies dans les chakras).
 Après m'avoir appris un geste symbolique
  pour couper tous les liens horizontaux de dépendance
 et d'attachement qui me bloquaient dans mon évolution et me maintenaient
 dans cette souffrance, elle a travaillé sur mes énergies de guérison (rayon vert)
 et a appelé l'Ange Raphaël et tous les maîtres ascensionnés et chamanes
 qui pouvaient m'aider dans cette guérison.

Quand je suis sortie de chez cette personne,
 j'avais l'impression de baigner
 dans l'Amour et la Lumière.
Je planais...


En rentrant chez moi, j'ai tiré une carte de mon Tarot indien de la Sagesse
 qui justement  représente une femme, en méditation dans la nature,
 parfaitement alignée dans l'axe Terre-Ciel.
 Or c'est justement ce que je dois faire pour l'instant :
 retrouver ma verticalité  (voir article à ce sujet)
 et mon équilibre intérieur.
 En plus je suis balance...et il n'y a rien de pire pour une balance
 que de perdre son équilibre !





 

Cette lame incite à s'arrêter, ne pas faire de choix, attendre, n'insister sur rien,
 prendre consciemment de la distance, reconnaître les illusions,
ne pas commencer quelque chose de nouveau, dresser un bilan.

Et voici son message intérieur :
 si cette carte vient à vous, c'est le signe que vous avez besoin intérieurement
de prendre vos distances par rapport à tout.

 Il y a des moments où nous nous trouvons au-dessus de nos forces et
où nous avons besoin de calme intérieur.
 Retrouver votre balance et sentir de nouveau votre équilibre intérieur
 sont actuellement vos tâches les plus importantes.
 Vous devez passer du « Faire » au « Rien-Faire ».
Ne vous faites pas de soucis.
 Ne rien faire et lâcher prise de façon consciente est la clé de toute sagesse.
 Ce n'est que dans le délaissement total que vous reconnaissez
 le réel et l'irréel de toutes choses.
Dans le délaissement physique et psychique les schémas de votre passé et
 les solutions à vos problèmes vous seront conscients d'une façon naturelle.
Dans cet état, vous retrouvez votre balance intérieure et votre équilibre naturel.


Cela correspond exactement au message que j'ai reçu pendant

cette séance énergétique !

Le Tarot ne ment jamais :

il vous donne toujours la juste réponse à votre demande et reflète

une part de vous-même à laquelle vous n'avez pas accès :

votre inconscient.

(Prochainement un article sur ce merveilleux outil de Connaissance de Soi)


Cet article n'a d'autre but que de vous conseiller d'accepter vos limites

(dépasser son seuil de tolérance n'engendre que souffrance)

et de ne pas hésiter à consulter des personnes pour vous aider

quand vous êtes face à un nœud, que la souffrance s'installe et

que vos énergies sont bloquées et vous empêchent de guérir.

Il existe toutes sortes de thérapeutes : psychologues, kinésiologues, astrologues,

personnes pratiquant le reiki, travaillant sur les énergies

ou utilisant des méthodes chamaniques...

mais ne vous adressez pas pour autant à n'importe qui car

certaines personnes font plus de tort que de bien.

Le bouche à oreille me semble est le meilleur moyen de faire un bon choix.

Ces personnes sont sur votre chemin pour vous aider

à poursuivre votre envol...


 

 



Aurore

 

Repost0
4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 11:03


mourir-lentement.jpg


« Il meurt lentement celui qui ne voyage pas
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n’écoute pas de musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.

 

Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre,
Celui qui ne se laisse jamais aider.

 

Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude,
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repères,
Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

 

Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions,
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les cœurs blessés.

 

Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap
Lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves,
Celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés.

 

Vis maintenant !

Risque-toi aujourd’hui !

Agis tout de suite !



ne-te-laisse-pas-mourir-lentement.JPG


 

J’ai moi-même longtemps résisté au changement,
 refusé d’écouter mon cœur et mon âme

et j’étais en train de mourir lentement…


J’étais paralysée devant cette douloureuse  épreuve du choix (voir article).
Il m’a fallu des années avant de passer du monde des choix au monde de l’évidence (voir article)
et oser quitter le connu pour l’inconnu.

 

Et puis, en un déclic (je devais subir une intervention chirurgicale et alors qu’on m’anesthésiait,
je me suis dit : « cette fois, c’est décidé, si je me réveille, je change de vie »),
tout s’est mis en place.

 

Un mois après, je prenais un virage à angle droit dans ma vie.

 

Ce fut très dur, je l’avoue : j’ai entamé la traversée du désert (voir article)
mais j’ai eu la chance de croiser sur mon chemin quelqu’un (un cadeau du ciel)
qui m’a « réveillée »
et qui m’a redonné envie de vivre, de rire, d’avoir des projets et des rêves.
Depuis lors, les rencontres intéressantes et enrichissantes se multiplient.

 

J’ai retrouvé une part de moi-même que j’avais complètement occultée, refoulée, ignorée.
Je sais maintenant Qui je suis et où je vais
et même s’il m’arrive encore certains jours d’avoir un coup de blues,
je vais de l’avant car j’ai confiance en la Vie et chaque jour qui passe,
je fais un pas de plus sur mon chemin…vers le bonheur.

 

 

Alors, si vous aussi, vous résistez au changement, j’ai envie de vous dire :

 

bougez, agissez, prenez des risques, osez le saut quantique…

 
plutôt que de vous éteindre et de mourir lentement…



medium-Reve.jpg


Aurore






 

Repost0
29 juillet 2007 7 29 /07 /juillet /2007 19:15


solitude.jpg


Parmi les souffrances que tout le monde rencontre, il y a la solitude.

 

La solitude, ce n’est pas nécessairement vivre seul ou être seul dans le sens de n’avoir personne
autour de soi,
c’est se sentir seul même quand on est entouré. 

 

Seul face à la maladie, seul suite à un deuil, seul face à une épreuve, seul suite à une rupture , etc…

 

Que l’on vive seul ou en couple, cela ne change rien car la solitude dont je parle ici,

c’est la solitude de l’âme :
c’est un trou béant, gigantesque que rien, ni personne ne peut combler.

Souvent, on attend des autres, conjoint, enfants, amis, famille qu’ils viennent combler ce vide parce qu’on
est incapable de tenir compagnie à quelqu’un ou quelque chose qui est au fond de nous. 

 

Je suis restée longtemps dans une situation fausse, qui ne me convenait plus, différant sans cesse
une décision de rupture que pourtant la mésentente et  l’agonie des sentiments justifiaient,
par crainte de me retrouver seule.
Et pourtant, durant mon mariage, j’ai traversé des épreuves
(maladie, difficultés professionnelles, décès de mes proches) et à chaque fois,
je me suis sentie seule, affreusement seule.
Car ce que l’on ressent à ces moments-là, personne d’autres ne peut le ressentir
de la même manière que nous. 

 

Après ma séparation, bien que j’ai deux enfants merveilleux et des ami(e)s intimes,
j’ai quand même, les premiers mois, souffert terriblement de me retrouver seule…
seule face à moi-même.

Jusqu’à ce que j’accueille cette solitude, que je la savoure, et que j’arrive à la considérer
comme un cadeau, comme un moment privilégié pour m’interroger, prendre du recul ;
un temps qui m’était donné pour me reconstruire, pour me reconnecter à moi-même, à ma Source,
pour remplir cet espace intérieur, immatériel qui était vide.

 

Apprendre à vivre seul avec soi-même, à être bien avec soi-même,
est une première étape sur le chemin de la réalisation.

Apprendre à ETRE, à habiter son ETRE dans sa globalité, à occuper consciemment
tout son espace intérieur.
 

 

Beaucoup de gens qui se retrouvent seuls suite à une séparation ou à un décès s’empressent
de combler le vide intérieur qu’ils ressentent par des relations extérieures.
Cela dure le temps d’une illusion et ne fait que retarder le moment de reconnexion à soi.
Car on ne peut vivre à deux sans avoir auparavant réalisé la complétude de son être, sinon,
on ne sera jamais que deux incomplétudes l’une avec l’autre,
avec son lot d’inconvénients.

 

 Se retrouver seul, qu’on l’ait choisi ou non, n’est pas une punition mais un cadeau. Il revient à chacun
d’accepter ou de refuser ce cadeau. 

 
Mon parcours m’a permis de comprendre que  tant qu’on n’a pas apprivoisé sa solitude, qu’on ne profite pas de ce moment qui nous est donné, pour se régénérer, on continuera à se sentir seul…
jusqu’à la fin de sa vie.



Alone.jpg

 

« La pire des solitudes n’est pas d’être seul, c’est d’être un compagnon épouvantable pour soi-même ».

 

« La solitude est partout
L’individu est toujours seul.
Ce qu’il doit faire, c’est la découvrir en lui-même
Et non pas la trouver en dehors de lui ».

(Ramana Maharshi)

 

 

 

« La vie ne commence réellement qu’avec la solitude ;
Ce qui se passe, lorsqu’on se rassemble, découle purement et simplement de ce qu’on était seul. Les phases essentielles de notre vie, ses points tournants, ont pour ressort le silence ».

(Henry Miller)


Aurore

 

Repost0
26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 15:36

  Embarrassant, il est des thèmes moins drôles ...

Espoir.jpg

"De la difficulté d'être au quotidien quand il y a 'état de souffrance'".

Cella faisait longtemps que je me retenais d'écrire une petite page sur ce sujet ... épineux.
La souffrance physique.
C'est la vision du film documentaire remarquable de Mary Jimenez,
 "La position du Lion couché" 
qui m'a incitée à aborder ce sujet délicat qui reste malheureusement TABOU !
Dans notre société élitiste, hypocrite ... il est des sujets qui font fuir.

Je (je prend mon cas) m'intéresse à la spiritualité, à la philosophie ... recherche sur soi.
Je m'essaye à la méditation, au yoga, à la calligraphie, peinture, photographie, astrologie ... dans le but certes de m'épanouir et d'apprendre mais essentiellement pour gérer un 'état'; le mien et un régime médicamenteux dans mon cas incontournable.
Traitement à vie de "substitution" qui malgré son effet bénéfique certain (le maintien en 'état opérationnel conforme') me drogue autant qu'il tente de me maintenir dans une normalité ARTIFICIELLE !
Certes  ... et alors, tant mieux.
Mais dépendance.
Adaptation continuelle à l'ordinaire.  Existe-il encore quelque chose de simple.
N'ayant plus du tout d'hypophyse (notre 'chef d'orchestre' dans le cerveau), la vie prend une autre tournure se contrastant sans cesse de hauts et de bas vertigineux, incontrôlables, euphorisants, déconcertants, déprimants ... fou.
Tourbillon de sensations diverses et douleurs apocalyptiques indescriptibles.
Le rapport au monde, à soi même vous l'aurez compris, change.
Expérience inouïe vous diront d'autres, c'est vrai aussi. Merci la vie.
Chaque jour une surprise !
Montagnes russes.
Symptômes atypiques, comportements atypiques ...
Douleurs inexplicables, languissantes et quotidiennes ... épuisant !
Autant cet 'état' peut vous 'démolir', autant il peut vous stimuler.
Effet bombe.
S'adapter alors, accepter.  
Remercier d'être en vie.
Mais sommes nous encore 'nous'  mêmes dans de pareilles circonstances (traitement avec effets secondaires).  Et ceci ne nous offre t-il pas paradoxalement une opportunité de mieux cerner la vie, sa richesse et beauté gratuites, de voir plus clairement cette 'réalité' qui nous échappe alors ?

Outre l'handicap qui peut résulter d'évènements divers malheureux ou logiques ..., modifiant considérablement notre rapport à l'espace, à la vie en général (changement dans la routine et confort; adaptation et dépendance), n'oublions pas combien peux changer alors comme le souligne M.Jimenez la notion et perception du TEMPS !
Maux qui vous rappelent chaque seconde votre corps !
Il est malheureusement des douleurs lancinantes et complexes qui 'rongent' et épuisent.
Lutte au quotidien, énergie déployée au détriment d'autres choses possibles ...
Bien sur, il y a des 'méthodes' et puis un 'état d'esprit' mais quand toutes les solutions 'clefs' ont été épuisées (des soins aux décodages en passant par la spiritualitée), il est parfois nécessaire et sage d'accepter avec sérénité l'étape supérieure libératrice ici, la mort cette amie.

Aussi, pour nous rappeler combien il est heureux d'être bien dans son 'véhicule' terrestre.

Non, ce n'est pas se plaindre que d'en parler !

La mort est parfois cette délivrance, libération qui mène à la PAIX.
La vie continue autrement ... mieux ?
Rappelez-vous en.
Il est des cas.

Enfin  terminer en félicitant encore la réalisatrice M.J pour son film qui ne se borne pas uniquement à constater et observer le sujet en 'étranger' mais qui transcende le problème pour nous plonger dans LA réalité.  Fusion à une 'difficulté'. Difficulté qui sous cet aspect disparaît car acceptée et intégrée sereinement.
Film au regard humain, direct.  Respectueux.
Vérité dure.
Film dont on ne sort pas 'indemne', d'une grande sensibilité; beau !
Des cadrages,  rythme et  montage émergent calme et douceur dans la tempête !
A découvrir si cela n'est déjà fait.

Castor

PS. Et ceci est un hommage à tous les petits et grands 'souffrants'.
Toutes mes pensées et bien plus à Ninjazz ... en plein combat!  Courage,courage !
Je tiens à remercier aussi Annette B. mon professeur de calligraphie chinoise et sophrologue qui m'a indiqué ce film.

Merci


Repost0
19 juin 2007 2 19 /06 /juin /2007 16:20


Les crises de la vie ne peuvent être évitées.

Les situations de deuil (mort, séparation, déménagement, maladie grave,etc…) auxquelles nous sommes tous un jour ou l’autre confrontés, nous force à réagir et à modifier notre existence.

 

Le seul moyen de faire face à l’épreuve est de l’affronter pour pouvoir la dépasser.

Le dépassement, c’est le franchissement d’une étape qui conduit à exister autrement.

L’épreuve, aussi douloureuse soit-elle, n’est pas forcément négative : elle peut devenir l’occasion d’être davantage soi-même.

 

L’état d’être qui consiste à « aller au désert », c’est accueillir l’évènement qui se présente, le faire sien.

 

Ce lieu de mort peut se transformer en un lieu de purification et de dépouillement si nous acceptons de nous relier à notre Source, de passer de la servitude à la liberté, de nous désidentifier de nos rôles (mère ou père parfait(e), époux(se) idéal(e), employé(e) modèle) qui nous empêchent d’exister et de découvrir le prince ou la princesse qui attend en chacun de nous sa libération.

 

Le but n’est pas de traverser le désert mais d’arriver en Terre Promise : retrouver ce pour quoi on a été fait, la raison de notre existence, la direction de notre vie.


d--sert.jpg



Il y a un an et demi, j’ai fait une longue traversée du désert ; j’y suis restée plusieurs mois.
 

 

Je savais d’où je venais mais je ne savais pas du tout où j’allais. J’avais quitté le connu pour l’inconnu. J’étais seule au milieu de nulle part. Je ne savais plus qui j’étais, ni où était mon chemin.
 

 

Sur cette route monotone et sans repères, je m’enfonçais dans la solitude tout en me battant pour survivre car le désert, c’est aussi un lieu de combat : il faut du courage et de la détermination pour ne pas s’arrêter en route
et pour ne pas y perdre son identité.
 

 

J’avais vécu des évènements douloureux et là, je savais que je devais affronter mes propres démons
pour m’en sortir vivante et plus forte.
 

 

Quand j’ai touché le fond, la tempête de sable qui m’empêchait de voir où j’allais s’est tout à coup dissipée devant moi : un rayon de soleil a traversé l’épais brouillard de ma vie.
Il est descendu jusque dans mon cœur tel un grain de lumière dans un creux de silence.
 

 

Cette main tendue, je l’ai acceptée.
 

 

J’ai appris à me laisser conduire, à recevoir la vie d’un Autre qui ne cherchait qu’à me faire découvrir en moi la meilleure part de moi-même. Je me suis ouverte à la Vie. J’ai renoncé aux modèles de perfection qui avaient toujours été les miens, pour m’accepter telle que je suis au plus profond de moi-même.
 

 

Il était accueillant, rayonnant, chaleureux.

 

Il m’a appris le pardon, la patience, l’humilité, l’Amour gratuit, cette liberté des sources qui est de n’avoir rien et pourtant de donner sans cesse.

 

Mon système de valeurs a basculé pour faire place à l’essentiel. J’ai appris à transcender mes peurs, à me reconnecter à ma Source et à accéder à la liberté intérieure.

 

 

 

Pour moi, cette traversée du désert a été initiatique : ce fut une « mort-passage » pour renaître.

 

 

 

Mourir à cette volonté de puissance qui était en moi (tout réussir, tout contrôler, tout avoir) m’a donné accès à mon humanité.
 

 

Ce qu’un enfant comprend en naissant, il faut souvent un long parcours et des expériences douloureuses de désert pour le redécouvrir une fois adulte.
 

 

Merci du fond du cœur à cet ami qui m’a tendu la main et qui m’a aidée à re-naître et à me re-construire.
 

 
Nous avons tous quelque part un(e) ami(e), un frère, un voisin, un thérapeute, quelqu’un sur notre route mais encore faut-il ouvrir les yeux…accepter qu’on ait besoin d’aide et surtout…vouloir s’en sortir.




ptit-prince.jpg

 

 

« Ce qui embellit le désert,

 

c’est qu’il cache un puits quelque part »

 

(Antoine de Saint-Exupéry)

 

 

 

 

 

« Je te conduirai au désert et

 

je te parlerai au cœur »

 

(Osée,2)




Aurore

Repost0
7 juin 2007 4 07 /06 /juin /2007 06:52
God-ziet-je.jpg


Y a-t-il un parallèle possible entre le désert, le jeûne et l’insomnie ?

Dans ces différents cas, il y a rupture d’une perception habituelle du moi, perception basée sur un certain confort, bien être, cocon qui représente un ensemble de repères et se crée par un ensemble de manières habituelles de répondre à ses besoins. 

C’est un moi « conditionné  », sécurisé par son aptitude à faire face au regard des autres, dure lutte, et donc très opposé au changement

Je n’ai aucune expérience du désert mais je connais bien l’insomnie.
L’irréductible, l’ingérable qui vous jette hors de la maîtrise du quotidien, qui vous déboussole.

Au début je la rejetais, paniquée : elle allait entraîner un manque de performance, une baisse d’efficacité, une inadéquation avec  l’image habituellement composée, choisie comme étant la meilleure réponse à un extérieur envahissant.
 
« Et puis qu’était ce caprice ?
J’étais jeune, en bonne santé, je n’avais pas de raison de ne pas dormir, moi.»

C’est précisément cette rupture dans la  continuité de la perception  de moi-même, que j’accepte aujourd’hui, que j’accueille  comme obligeant à vivre une expérience incontrôlable, un retour à un soi authentique.
 
L’insomnie oblige à lâcher prise.
 A accepter d’affronter le présent avec un cerveau qui refuse de s’ouvrir sur l’écran programmé.

Ma volonté de contrôle n’a pas tout à dire. 

Il y a des zones en friche qui demandent un peu d’attention, et qui, entendues, soignées, nourries, guéries, donneraient un bon blé, un bon grain.

Au nom de quelle apparence, de quel juge tout puissant, laisserais-je ces zones en souffrance errer dans un no mand’s land, les assommant à coup de somnifères ?
 
Au nom de la famille, du clan qui s’arroge un droit de jugement sur la manière dont « je » ressens ma vie ?

 « Dieu vous regarde » était-il inscrit jadis sur une image qu’on voyait souvent dans les cafés ou les cuisines de Flandre.
Au dessus de l’inscription, l’œil divin perçait l’entièreté de la création de son regard critique tout puissant.

Il fallait gérer, non ressentir.
Se donner des coups de pieds au cul pour avancer.

C’est ce qu’ont vécu nos parents et grands –parents, victimes de la guerre, de privations et d’une grande absence de liberté de pensée individuelle.

Volonté de gestion, mépris du ressenti…
Les choses n’ont pas beaucoup évoluées au niveau du  clan familial….

Amanda

Repost0
1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 20:54

Toutes ces belles vérités, citations, pensées, traduisent notre désir de nous remettre en question, d’évoluer.
Dans le désarroi, elles nous réconfortent et nous guident.
En effet, lors de chaque événement, une phrase vient comme par magie à notre rencontre.
Elle nous propose une attitude, nous ouvre une perspective, nous dévoile un autre point de vue qui aidera à s’engager dans la bonne direction
Elles sont les clés qui permettent de sortir de la confusion, une lanterne dans la nuit.

Jusqu’à un certain point.

La nuit…C’est quand l’ombre du mental devient trop forte, trop opaque.
Le mental affolé par une peine du cœur s’agite dans tous les sens, pour trouver réparation, réconfort, et en définitive me sature de ces belles phrases dont il s’empare. Et m’abrutit.

Mais quand dans le silence, s’est élevée la voix d’Anca pour entonner le mantra « Om Sri Ram, Jay Ram, Jay Jay Ram », une immense vague d’amour s’est à l’instant même emparée de moi.
 
Et cette vague d’amour est entrée en contact avec cette peine que j’essayais de gérer.
Le mantra, la voix douce qui s’élevait berçait ma peine comme un enfant.
Instantanément, la paix est revenue et dans cette paix la peine s’est diluée, évanouie….

Et si l’essentiel était si simple qu’il n’y a rien à en dire ?
 
Amanda
Repost0
29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 15:07
                                                                               
                                                                                                    A qui parler ? Que dire?
                                                                                                    Les mots tombent dans ce séisme, ce cratère. cristal-d-eau.jpg
Elle est partie.
Pleurs. Soulagement après la tension. Arc en ciel.

Je déplace les épices. Du balai.
On va relooker la maison.
Tiens, le chat...il ne dormira pas sur son lit ce soir.

« Votre fille a vingt ans »
Qui connaît encore cette chanson de Reggiani ?
Ou celle de Michel Sardou :
« Mes chers parents je pars... Je vous aime mais je pars... »
Mon bébé. Mon bébé n'est plus là.

Hier, avec des copines, on a créé un blog : « rêve d'envol ».
Le titre me plaisait phonétiquement mais me gênait pour une raison inconnue.
Ce matin, c'est ma p'tite Mo qui s'est envolée. Bonne chance chérie...

La vie donne et reprend.
La vie m'a donné Morgane, le plus magnifique des cadeaux.
Morgane, petit bout de chou adopté, est arrivée chez nous à quatre jours.
Entre Noël et Nouvel An.
La vie aujourd'hui m'enlève Morgane que j'ai (con)fondue avec moi-même
Radio Maman, radio Morgane c'était la même émission
Morgane maintenant a besoin d'espace, de place

Oui, mais elle avait tout ici...
Chut la tête
Morgane c'est Morgane. La plus belle.
Tu l'aimeras toujours
Mais elle n'est pas « ta » Morgane,
M' « organes » a dit le psy...
"Morgane de toi" chantions nous avec Renaud
Pour toi aussi c'est mieux
Tu vivais par procuration à travers elle
Papa Ramdas, Ma Ananda Mayi c'est le moment de m'aider
A trouver le fond paisible de l'océan que n'atteignent pas les vagues de surface !

Mo a laissé sur mon bureau avant de partir la carte de cristal d'eau « Bonheur » :
« Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre. »

A côté, elle a aussi posé la carte « Merci »
« Dieu t'a offert 86 400 secondes ; aujourd'hui, en as-tu utilisé une pour dire merci ? »

Merci, Mo.
Merci pour tout ce que tu sais, notre complicité, la musique, les vêtements, les confidences, tout cet immense partage.
Nous l'avons toujours su toutes deux : ce n'est pas par hasard si je n'ai pu avoir d'enfants, ce n'est pas par hasard si tu as choisi cette famille.

Outre ta présence, tu m'as beaucoup donné Morgane.
Ta m'a apporté ta sagesse, ta clairvoyance en toutes circonstances.
Et un amour inconditionnel : en tout, tu prenais ma défense
Me soutenant dans toutes mes entreprises

Mission peut-être pas si bien accomplie pour moi,
Quoique j'aie fait de mon mieux pour dérouler le tapis rouge
Sous les pieds de ma fée, ma princesse.

Ce n'est qu'une page de tournée, d'autres suivront....
Pour ces dix neufs années et cinq mois de bonheur, merci...

Courage ! Je sais que ton cœur rit et saigne
Ne t'en fais pas : tout est bien
N'arrive que ce qui doit arriver

Confiance ! Tu vas y arriver
Et tu auras, quand je te reverrai, la tête haute....
Et ton si beau sourire

Amanda qui t'aime

NB : la carte de l'Oracle de l'eau qui est sortie au sujet de notre relation est la 9! : " Un cristal flamboyant comme la force de la foi "et qui rappelle cette maxime d'Edmond Rostand :

                                                "c'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière"

Ciao Moket!           
Repost0

Présentation

  • : Rêve d'envol
  • Rêve d'envol
  • : Castor, Aurore, Amanda ( et d'autres...) vous invitent à partager le fruit de leurs réflexions, de leurs remises en question et de leurs lectures, tout ce qui les aide à progresser sur leur chemin de vie. Tous les sujets traités se recoupent dans une certaine logique. Leur but est l'expression communicative et le partage dans une ouverture d'esprit totale.

Adresse e-mail

Eternelle quiétude





Il a déjà été dit que la quiétude est le langage de Dieu et que toute interprétation autre était fausse. C'est en fait un terme pouvant remplacer celui de paix. Quand nous devenons conscient de la quiétude dans notre vie, nous sommes reliés à la dimension intemporelle et sans forme en nous, à ce qui est au-delà de la pensée, au-delà de l'ego.


Il peut s'agir de la quiétude où baigne le monde de la nature ou de la quiétude dans votre chambre aux petites heures du matin, ou encore du silence entre les mots. La quiétude n'a pas de forme. C'est pour cette raison que nous ne pouvons en devenir conscient par la pensée, puisque la pensée est forme.


Quand on est conscient de la quiétude, c'est qu'on est quiet. Et être quiet, c'est être conscient sans pensée. Vous n'êtes jamais plus essentiellement, plus profondément vous-même que lorsque vous êtes dans cet état. En fait, vous êtes qui vous étiez avant de prendre cette forme physique et mentale, que l'on appelle une personne. Vous êtes aussi qui vous serez une fois que la forme se sera dissoute.


Lorsque vous êtes dans la quiétude, vous êtes qui vous êtes au-delà de votre existence temporelle, c'est-à-dire vous êtes la conscience sans forme, non conditionnée et éternelle.


Eckhart Tolle

 



Archives


Dieu est en vous


Dieu est en vous, lumineux, resplendissant,


éblouissant de la splendeur d'un million de soleils.


Dans la vérité essentielle de votre existence,


ici et maintenant.


L'électricité peut être coupée,


la bougie peut s'éteindre,


vous pouvez être dans l'obscurité totale,


pourtant vous savez que vous êtes là.


Par quelle lumière percevez-vous votre présence ?


Par la lumière de la Conscience.


Cette lumière est Présence de Dieu en vous.


(Swami Chidananda)






La Source du Don 



Vous n'avez pas la vie,


vous êtes la vie.


Rien ni personne ne peut vous l'enlever...


On peut vous enlever ce que vous avez :


vos idées sur la vie,


vos représentations de la vie, vos idoles,


les émotions, les sentiments, les pensées,


les formes que vous prenez pour la vie,


le moi auquel vous vous identifiez :


tout cela vous sera enlevé


mais jamais la vie...


 


Vous n'avez pas la vie,


 vous êtes la vie.


La vie qui court, la vie qui passe,


offrez-lui un siège,


une assise, un souffle, une conscience


où elle puisse se poser,


se reposer...


puis de nouveau se donner...


comme la Source qui a soif d'être bue.

 



L'homme est un être


à qui l'être manque,


dit le métaphysicien.


L'homme est une soif (un désir)


à qui la source (le bon objet) manque,


rappelle le psychanalyste.


L'homme est un être


à qui l'Etre est donné,


l'homme est une soif


à qui la Source est offerte :


s'il la pressent


s'il la veut, la respire


s'il y acquiesce.



             


Mais ce sont là « paroles d'Evangile »


qui ne s'adressent ni au cœur ni à la raison


ordinairement fermée,


mais au cœur et à la raison


qui demeurent dans « l'ouvert »...


dans une autre béance,


une blessure peut-être,


qui accueille l'Impossible Présence...





« Si tu savais le Don de Dieu »,


si tu savais que la Source est en toi...


la Source du Don.



(extrait du livre "Qui aime quand je t'aime"

de C. Bensaid et J.Y. Leloup)



(Le Gange, près de sa Source)





"La Vérité est en vous.

Pour la percevoir,

 il vous faut ouvrir l'oeil intérieur".


(Bouddha)



"Sans connaissance de Soi

on est comme un cadran solaire à l'ombre".

(auteur inconnu)



fleur-de-lotus-rose.jpg


"Rien dans ce monde n'arrive par hasard".

"Dans la vie, tout est signe".

(Paulo Coelho)


Cropcircle.jpg





Que-la-force-soit-avec-vous.JPG

Citations

Rêve d'envol


"Quand notre âme,

tel un cygne,

prend enfin son envol,

elle n'a nul besoin de balises ou de cartes".


(Vijay Batthacharya)




"L'âme s'extirpe de sa chrysalide,

en rêvant qu'elle sera un jour un ange.

Elle le deviendra."


(L.Andréas Salomé)




L'amour


« L'amour est ce qui est...


L'amour constitue la dimension la plus profonde.


On ne peut le créer.


Comme il y a des choses que tu associes


à l'amour,


tu penses qu'elles sont une expression


de ton amour.



Tu ne peux créer l'amour en toi.


tu peux créer certaines choses,


mais tu ne peux créer l'amour.



L'amour, sous sa forme la plus pure,


se rencontre dans le royaume du silence.


Derrière la matière et l'énergie


et derrière toutes les choses que


l'on peut rencontrer


dans les royaumes physique et spirituel,


se trouve l'amour.



L'amour est l'élément fondamental derrière


tout ce qui est...


L'amour est à la fois le commencement et la fin.


L'amour reste la source d'où tout procède


et vers quoi tout se dirige.


Il est l'essence élémentale de l'univers.


Le seul fait de le rencontrer induit en vous


une transformation inéluctable,


car l'amour est constamment changeant


tout en étant immuable. »


(Aigle Volant)





Je suis


"Je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions,

ni mes perceptions sensorielles,

 ni mes expériences.

Je ne suis pas le contenu de ma vie.

Je suis l'espace dans le quel tout se produit.

Je suis la conscience.

Je suis le Présent.

Je suis".

(Eckhart Tolle)




Qui suis-Je?

je ne suis pas mon corps physique

je ne suis pas mes émotions

je ne suis pas mes pensées

ni mes réalisations, ni les biens,

 le pouvoir, les relations,

 les connaissances que j'ai pu accumuler

ni la somme de mes actes, de mes paroles,

 de mes écrits.

je ne suis pas un individu séparé, isolé,

indépendant, autonome, distinct;

je ne suis ni l'observateur, ni l'observé.

je ne suis pas ce tissu de constructions mentales

 que j'appelle moi, la personnalité

 à laquelle je m'identifie.


Je ne me situe pas dans les objectifs à atteindre,

 la performance, la comparaison, les résultats.

je ne suis ni d'une nation, ni d'une famille,

 ni d'un sexe, ni d'un groupe.

Je ne suis pas le « vêtement » temporaire

 que je porte;

je ne suis ni dans le passé, ni dans le futur.


Je suis au Centre du Cercle sans contour délimité.

En somme, je ne suis rien.

Pourtant, étant vide, Je participe du Tout,

Je suis Tout;

Il est en Moi, Je suis en Lui.


Je suis la terre, l'eau, l'air et le feu;

Je suis le ciel, les étoiles, les univers, les galaxies,

 les systèmes solaires, les planètes;

Je suis la nature et la vie, l'arbre, le blé,

 la fleur,  l'animal, le minéral;

Je suis toutes les formes, les couleurs

 et les notes de la gamme;

Je suis énergie, vibration et oscillation;

Je suis le microcosme et le macrocosme;

Je suis tout cela à la fois.


Je suis au-delà du temps et de l'espace;

Au-delà du visible, des sens, du manifesté

 et de la diversité;

Au-delà du bien et du mal, du beau et du laid,

 du féminin et du masculin, de la vie et de la mort;

 de la dualité.

Je suis Totale interpénétration, intégration,

 liaison, unification.

Je suis Un.


Je suis sans forme, sans nom, sans odeur,

 sans goût, sans taille, sans sonorité.

Je suis le non manifesté

et pourtant pleine potentialité;

Je suis toutes les possibilités.


Je suis l'Être Éternellement Présent

Ici et maintenant

Le Commencement et la Fin simultanément

Je suis Conscience

Je suis Amour

Je suis.


(auteur inconnu)




"Tous les chemins du monde m'appartiennent,

tous les horizons, tous les jours et toutes les nuits.

J'ai l'immensité devant moi et derrière moi

s'est écoulée l'immensité...

Au milieu, je suis.

 Et que suis-je ?

Sinon moi-même, immensité.

Autant de chemins que d'instants...

Autant de possibles...

Je peux aller à droite, à gauche, en bas, en haut...

Comment puis-je me perdre ?

Puisque tous les chemins mènent à moi."

(Marc Vella)


goelan.jpg


La Lumière
 

"Vous êtes la Lumière du monde".

(Dieu)



Tes jours auront plus d'éclat que

 le soleil à son midi,

tu brilleras,

comme l'aurore.

(JobXI :17)


"Il ne faut cesser de s'enfoncer dans sa nuit.

 C'est alors brusquement que

 la lumière se fait".

(F.Ponge)


"C'est la nuit qu'il est beau de croire

 à la lumière".

(E.Rostand)


"Seul se lève le jour

pour lequel nous sommes prêts."

(Henry Davie Thoreau)


"C'est quand vous savez

comment comprendre l'amour,

 comment le manifester,

comment le laisser couler à travers vous,

que vous devenez lumineux".

(M.O.Aïvanhov)



aurore-bore.JPG



Le Soi


"Découvrez qui vous êtes,

 et tous les autres problèmes se résoudront

d'eux-mêmes".

(Ramana Maharshi)


"J'ai toujours tenté de trouver une réponse

 à la fameuse question :

 qui suis-je ?

 Et je n'essaie plus.

Ce n'est plus une question :

JE SUIS."

(Paulo Coelho)


"Où cours-tu ?

 Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?"

(Christiane Singer)


"Fais un voyage du moi au Soi, ô ami,

 car par un tel voyage

 la terre devient une mine d'or !...

Purifie-toi des attributs du moi,

afin de discerner ton essence pure !...

Je suis tombé dans l'absence totale du moi

- que je suis joyeux avec le Soi !...

Personne ne trouvera sa route

 vers la Cour de la Magnificence

 jusqu'à ce qu'il soit annihilé"

(Rumi)


gens-ds-d--sert.JPG






Le coeur


Dans votre coeur

se trouve le passage,


un pont de lumière


qui relie ce que vous êtes


à ce que vous n'êtes pas encore.



Mais pour emprunter


ce pont de lumière


il vous faut être vous aussi


une LUMIERE


et seul l'AMOUR


peut vous aider


à le devenir

(Ônajor)
« Un amour qui change l'histoire »



"Le coeur est le lieu où se trouve la paix,

dans la pure Lumière et la pure Conscience"

(Abhinavagupta)


"Ecoute ton coeur.

 Il connaît toute chose,

 parce qu'il vient de l'Ame du Monde

 et qu'un jour il y retournera"

(Paulo Coelho)


"On peut aussi bâtir quelque chose de beau

avec les pierres qui entravent le chemin"

(Goethe)


cailloux.jpg

L'instant présent



"Nous oublions souvent de sentir

 la magie du moment présent

 et pourtant, c'est elle qui bâtit le scénario

de notre vie".

(Michel Bouthot)


"Tout ce que nous cherchons frénétiquement

 dans un illusoire devenir,

 repose au coeur de l'instant,

un instant intemporel.

Quand cette évidence explose en nous,

 comment ne pas éclater

de rire et de joie ?"


"En nous établissant dans l'instant présent,

nous pouvons voir toutes les beautés et

 les merveilles qui nous entourent.

Nous pouvons être heureux simplement

 en étant conscients

de ce qui est sous nos yeux".

(Tich Nhat Hanh)



lac-avec-un-cygne.gif



La  re naissance


"A l'âge adulte,

 nous pouvons revivre notre naissance,

 ouvrir un coquillage,

 accéder à une vision radicalement nouvelle".

(Eduardo Cuadra)


"Acceptez tout ce qui arrive et

 que votre esprit agisse en toute liberté".

(Chuang Tzu)


coquillages-villes-plage-nassau-bahamas-647943.jpg



Le chemin

"Ne crois pas que tu t'es trompé de route

quand tu n'es pas allé assez loin"

(auteur inconnu)


"Empruntez un chemin,

si étroit et sinueux qu'il soit,

 que vous puissiez parcourir dans l'amour et le respect".

(Henry David Thoreau)


"Une fois que nous sommes sur le bon chemin,

 le destin se déroule devant nous,

 tel un glorieux tapis de fleurs".

(auteur inconnu)


"Quand le chemin touche à sa fin,

 changez-en;

 en changeant, vous passerez au travers".

(I Ching)


"Ne suivez pas le chemin qui semble vous porter,

 prenez plutôt par là où il n'y en a pas,

et laissez une trace".

(Ralph Waldo Emerson)



scan0001.jpg



Le mystère



"La plus belle chose que nous puissions éprouver,

c'est le côté
mystérieux de la vie."

(Albert Einstein)


"Ce qu'il y a de beau dans un mystère,

 c'est le secret qu'il contient

et non la vérité qu'il cache."

(Eric-Emmanuel Schmitt)


"Un mystère éternel est une tentation éternelle".

(Zhang Xianliang)


"Les mystères sont des objets de contemplation,

 non des énigmes à élucider"

(André Frossard)


menhir.jpg



La  Vérité

"Tu veux apprendre la vérité de ma bouche

 au lieu d'en faire toi-même l'expérience.

Tu ne découvriras pas la vérité

 dans ce que je dis.

La Vérité ne peut être saisie qu'à travers l'expérience."

(Aigle Volant)


"Quand ce que vous pensez,

ce que vous dites,

 ce que vous faites

 sont en harmonie,

vous atteignez le bonheur"

(M.K. Gandhi)


Roue-Zodiaque-.jpg

Souvenirs d'INDE