Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 21:34


"Nos difficultés intérieures présentent des analogies avec un marécage.

Tant que le marécage n'est pas asséché, nous vivons dans le brouillard

et sommes assaillis de moustiques, parce que le marécage présente

les meilleures conditions pour leur prolifération ;

et notre vie n'est plus qu'une lutte interminable

contre le brouillard et les moustiques.


Quand on voit certaines personnes se débattre pendant des années

dans des problèmes insolubles en étalant chaque jour les mêmes malaises,

en répétant chaque jour les mêmes plaintes,

on voudrait bien les aider à se tirer de là,

mais comment ?


On leur parle, on leur explique que les conditions extérieures ne changeront pas,

et que c'est à elles de changer ;

rien à faire, elles restent dans leur marécage avec leurs moustiques.

Plus ou moins, bien sûr, mais chacun de nous a des marécages à assécher

et à combler pour que

les moustiques - les inquiétudes, les tourments - n'aient plus de domicile."


Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 

 

"Vous êtes nés avec un potentiel.

Vous êtes nés pour la bonté et la confiance.

Vous êtes nés avec des idéaux et des rêves.

Vous êtes nés pour accomplir de grandes choses.

Vous êtes nés avec des ailes.

Vous n'êtes pas faits pour ramper,

alors ne le faites pas.

Vous avez des ailes.

Apprenez à les utiliser et envolez-vous".

Rûmi


 

 


Suivons les conseils des grands Maîtres,

quittons nos marécages

et

envolons-nous !

 

AURORE



Merci au blog "Mandala" en lien avec notre site pour cette superbe pensée de Rûmi.




Repost0
15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 20:00


"La spontanéité, c'est être capable de faire quelque chose
simplement parce que l'on a envie,
de faire confiance à son instinct,
de s'étonner soi-même,
et de tirer des griffes du train-train un peu de plaisir imprévu."


Richard Iannelli



Etre spontané, pour moi, c'est retrouver notre coeur d'enfant
 et notre joie de vivre innée.
C'est oser faire ce que l'on veut et dire ce que l'on pense
sans craindre le regard et le jugement des autres.
Etre spontané c'est agir en étant à l'écoute de soi.

Et pour vous, c'est quoi être spontané ?

Aurore

Merci au blog MANDALA pour toutes ces superbes citations distillées jour après jour.
http://mandala.skynetblogs.be

Repost0
7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 21:58

Les ami(e)s sont des anges
qui nous remettent sur nos pieds
 lorsque nos ailes ont de la peine
à se souvenir comment voler.




Aurore


Repost0
29 avril 2008 2 29 /04 /avril /2008 22:22


Parmi les merveilleux cadeaux de l'amour, la tendresse fait parfois partie
 de petite orpheline oubliée dans son coin et pourtant,
elle est très importante pour le corps et l'esprit.

Elle agit comme un baume.
Beaucoup de personnes pensent que la tendresse est un acte de faiblesse,
 réservés aux enfants ou aux personnes âgées bien souvent en fin de vie
ou encore aux chiens ou chats.

Comme si, le fait de caresser tendrement les rassurait, et c'est vrai.

La tendresse est une énergie de protection douce et forte à la fois.
Seuls, les humains qui ont déjà fait un grand travail d'amour et de libération
développent naturellement cette tendresse dans leurs gestes quotidiens.
Oser toucher l'autre avec respect, générosité, amour et tendresse est une belle démonstration de paix intérieure et de partage.
Celui ou celle qui n'est pas très tendre est souvent rigide intérieurement
et vit des luttes guerrières entre son corps et son âme.
Douleurs partout, manque de souplesse, tiraillements, torticolis...
la liste peut être longue.
La tendresse est associée généralement à gentillesse,
douceur, compassion, lâcher-prise.
C'est une démonstration libre et sincère de l'amour véritable,
sans peur et sans gène.

Elle peut se faire avec le toucher bien sûr,
une caresse, une main posée sur une épaule, une main tendue à l'autre,
mais aussi avec un sourire, un mot doucement prononcé,
une parole aimable, un clin d'oeil complice, un petit mot laissé sur une porte,
un message texto, un poème, un cadeau inattendu, une visite surprise,
un accompagnement...
Tout ceci renforce la notion d'amour et ne vient pas,
comme certains peuvent penser, le rendre mièvre.
Beaucoup n'osent pas être tendre.
C'est comme si on leur arrachait une partie d'eux-mêmes
comme si une carapace les bloquaient.
De grands maux du corps peuvent se guérir par la simple acceptation
de se donner de la tendresse, d'en donner aux autres et d'accepter d'en recevoir.
C'est un beau travail d'éveil de développer cette tendresse et
c'est un cadeau à se faire et à faire aux autres.

Comment peut-on penser changer le monde
si les hommes restent dans cette dureté intérieure ?
La guerre ne peut plus avoir lieu lorsque la tendresse est activée !
Elle est garante de la paix intérieure et extérieure.
C'est un vrai outil d'éveil à part entière.
Je vous encourage à oser développer cette énergie qui ne demande que ça !
Forcez-vous s'il le faut, prenez cela comme un véritable travail d'éveil.
Votre corps demande cette tendresse,
votre âme se réjouit de cette tendresse...

Votre conjoint, vos enfants, votre famille, votre environnement aussi !
Un manque de tendresse, peut à la longue détruire ce que vous croyez solide,
car en réalité, elle est l'un des ingrédients secrets de l'amour inconditionnel.
N'hésitez pas à oser être tendre,
votre esprit comprendra ce changement et vous servira en conséquence !
Depuis des années, j'ai développé cette qualité...
et je peux vous affirmer que c'est un magnifique cadeau
à se faire et à offrir aux autres !
La tendresse n'est pas une faiblesse !
C'est au contraire une force active très puissante.

Que la tendresse vous accompagne.
Je vous envoie tout mon amour et vous remercie de votre confiance.

Joéliah
amourdelumiere.fr
Merci de garder la source y compris cette ligne.


 

 



On a tous besoin de tendresse, qu'on soit jeune ou âgé,
qu'on vive seul ou en couple.

Alors pourquoi tant de personnes sont-elles si "avares" en tendresse ?

Aurore

 









Repost0
27 avril 2008 7 27 /04 /avril /2008 20:18


"Celui qui prend conscience
de la vérité du corps
peut
aspirer à connaître la vérité
de
l'univers"

Ratnasara

 


Castor

Repost0
25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 14:21


« Si toi aussi tu m’abandonnes… »


 

 


 

 

 

Cette sorte de solitude, lorsqu’elle est mal vécue, c’est-à-dire subie comme une injustice ou accompagnée d’une sensation de trahison, semble bien caractériser un sentiment d’abandon.  
Qu’il se manifeste dans une situation qui suffise à le justifier ou dans une autre qui l’induit sans pour autant l’expliquer ;
qu’il soit compréhensible ou insupportable pour celui qui le vit ou pour celui qui le constate.

L’abandon, anciennement « à bandon », trouve son origine dans la langue germanique et signifie littéralement
« au pouvoir de ».

Le verbe abandonner qui en découle signifiant l’action
de quitter… de cesser de s’occuper… de livrer au pouvoir de…

 Il en irait pour la personne qui éprouve éloignement, séparation
ou opposition comme de l’abandon de ne pouvoir supporter d’être différenciée de l’autre sans se sentir désespérément livrée à soi-même
ou à on ne sait quelles forces du mal.

Sans raison d’être si ce n’est celle de reconquérir, par tous les moyens, le cœur, la présence de celui qui la quitte.
 

Expression d’une souffrance dans la relation à l’autre, le sentiment d’abandon se traduit par toutes sortes de manifestations,
repli sur soi, dépression, exil, pleurs, conduites d’anxiété, agressivité, auto-mutilation. 
Et s’accompagne souvent de sentiments corollaires tels celui d’injustice, d’impuissance ou d’insécurité…
Et parfois leur contraire. Il prend sa dimension dans l’intime. Dans l’histoire de la personne.
Génère parfois de la violence – colère, révolte, défi provoquant - et à l’opposé, retraite, soumission, paralysie
.


Si l’on se réfère à l’histoire du Petit Poucet,
l’abandon évoque des parents indigents, sans pitié, qui se séparent de leurs enfants, faute d’avoir les moyens financiers de s’en occuper. Mais aussi une issue heureuse.
Petit dernier délicat et souffre douleur d’une famille nombreuse qui lui laisse peu de place, le Petit Poucet, tire parti de tout et même de sa petite taille, pourtant sujette à moqueries. Et lorsque père et mère « résolurent de se défaire de leurs enfants », pas une seconde il ne se lamente sur son sort, contrairement à ses frères et sœurs qui se « mirent à pleurer » dès qu’ils se virent seuls.
À la relecture du conte, on s’aperçoit combien ce petit garçon fait preuve d’ingéniosité, de courage, d’une capacité d’anticipation remarquable, pour surmonter les épreuves.
Autrement dit,
combien la séparation lui sert,
en dépit des conditions pénibles dans lesquelles elle se produit, à gagner en autonomie.
C’est cet accomplissement de soi qui capte notre attention et efface presque la cruauté initiale.

 

 

Ce conte suggère à ceux que leurs parents oublieraient de rejaillir en faisant appel à l’invention, à l’imagination, c’est-à-dire à leurs forces créatrices.
Et propose de s’emparer des difficultés de la vie comme d’une occasion de s’ouvrir à une seconde naissance.
De devenir auteur de soi-même et responsable, plutôt que de s’accepter condamné à l’impuissance, résigné au martyr, sans moyens de réagir sitôt que l’on se sent délaissé.

D’une façon symbolique, cette séparation brutale, qui en tous points mettrait en évidence l’indignité des parents, s’avèrerait souhaitable si ce n’est essentiel, pour rompre (de part et d’autres) avec les liens de dépendances infantiles.
On peut voir dans ce conte une métaphore de la nécessité de marquer la distance entre parents et enfants et d’encourager ceux-ci à l’éloignement.  


Chez certaines personnes particulièrement vulnérables, le sentiment d’abandon s’impose tel un véritable
handicap.
Vécu comme une torture, il se répercute de l’imaginaire sur le réel à travers des conduites d’échecs ou des difficultés : scolaires, pour

un enfant, professionnelles, pour un adulte, affectives et passionnelles chez l’un comme chez l’autre.
Cauchemars, refus inexplicables d’accomplir ce qui dans un temps précédent était source de défis heureux,et tout autre signe de détresse,
en sont l’expression courante.

 

 

Ainsi plus que dans l’événement qui l’a déclenché, l’abandon prendrait son sens dans le sentiment qu’il imprime et diffuse à celui qui s’en ressent l’objet.
Et l’intensité, la portée dramatique et l’inscription dans le réel de ce sentiment ne seraient pas relatives à la férocité apparente de l’acte qui l’induit, mais déterminées par le contexte historique familial, générationnel et émotionnel.
Par le sens de l’histoire qu’il transmet au sujet.
Et les réponses singulières que celui-ci imagine.


De la transmission du sentiment d’abandon



Un sentiment d’être réduit à la solitude peut survenir et manifester son emprise chez un enfant dont la mère est happée par la disparition d’un être cher ou bien chez celui dont la mère vient de mettre au monde un nouveau bébé.
L’enfant, dont la mère est aspirée par la mort, se sentira tiré vers le fond, de façon forcément douloureuse.
Détermination et inventivité lui seront nécessaires pour résister à l’appel du vide que représentent les « absences » réelles ou symboliques de la mère.
Tandis que pour l’autre, celui qui a l’impression de perdre sa mère parce qu’il ne l’a plus pour lui tout seul, et qui craint que « le nouveau bébé n’efface l’ancien »,
l’absence de la mère pourra être acceptée comme une invitation à grandir.

Une occasion de s’accomplir, en tant qu’être humain et non plus seulement comme « le bébé de maman ».
Si des conditions aussi favorables que possible sont réunies, l’enfant trouvera l’énergie de se surpasser et donc de renoncer aux avantages liés à l’état de bébé pour conquérir ceux de l’aîné. Il cèdera un ancien statut pour l’accorder au nouveau né et en acquérir un plus valorisant, sur la voie de la
maturité.

Dans l’un et l’autre cas, la traduction du sentiment qui accompagne la défection maternelle s’inscrira de façon plus ou moins douloureuse. 
° L’un, passage sans trace traumatique, est une occasion d’advenir à soi-même, de se différencier, de se découvrir seul, de s’émanciper, et
donc source de fierté heureusement narcissiste.
Il offre l’occasion, sauf configuration familiale problématique,
de se développer en s’affirmant sujet (autre).
Autre que maman, autre que bébé.
 Passage obligatoire, il engage à grandir.
À aller dans le sens de la vie.

 

° Le second, plus éprouvant en son essence, pourra plonger l’enfant dans la dépression (maternelle) ou le désarroi.
Soumission ou révolte, pour supporter l’insupportable, l’enfant invente, à défaut de savoir faire autrement, toutes sortes de « programmes de survie » : repli anorexique, appel à la fusion… mutisme, insomnie, ou tendance à l’hyperactivité comme s’il fallait se faire entendre à tout prix, se prouver que l’on existe, ne pas se laisser oublier…

° Il peut encore « se blinder » et devenir « méchant » pour résister à ce qu’il ressent comme une agression (mortifère) ou une dépossession de lui-même. Mouvements de colère, obstination, manifestations d’amour ou de haine démesurées, et toute autre conduite excessive, viennent combattre le sentiment de mort que lui communique de corps à corps, de sensibilité à sensibilité,
au-delà des mots, sa mère par ses « absences ».

 

Le sentiment d’abandon refoulé agit comme une emprise.

 

Le souvenir d’un abandon mal vécu, non surmonté ou trop vite refoulé dans la petite enfance, a des répercussions dans l’âge adulte.
Il peut amener à une dépendance extrême et infantilisante et inviter à se livrer toutes sortes de concessions dévalorisantes, sous la contrainte des menaces intériorisées que fait subir l’angoisse.

À l’inverse, il peut inciter l’être, (au niveau de l’inconscient), à ne pas s’engager, aussi longtemps qu’il est sous l’emprise de la peur de revivre ce drame « impensé ».
Ne voulant dépendre de personne, il évitera bien sûr l’abandon mais aussi toute relation à l’autre.

 

L’abandon en héritage 

 

La plupart du temps, intervient dans les réactions du sujet, l’expression de sa constellation familiale ou généalogique porteuse de souvenirs ou de traces mnésiques dont on il serait le dépositaire de passage.


Une difficulté à se séparer, sans aussitôt être saisi d’un sentiment de perte de substance, viendrait raviver à sa source un conflit ou un drame antique.
 Comme si celui qui en est animé avait reçu pour mandat de le résoudre, et d’ouvrir de nouveau la voie à d’autres possibles que la dépendance et… l’impossible désir.
Il est rare en effet qu’un sentiment, qu’apparemment rien ne justifie, ne trouve sa légitimité dans un souvenir réel ou une histoire de transmission familiale.
Que le silence, l’étouffement, le refoulement auront alourdis et dramatisés.


Le sentiment d’abandon fait partie de ceux qui s’enracinent
au fil du temps, aussi longtemps qu’ils n’auront pas été éclaircis, parlés, repensés.
Aussi longtemps que celui qui en est la « victime »,
le sujet, la courroie de transmission, ne s’en est pas libéré.
Réactualisé à l’occasion d’un mot ou d’un événement anodin,
il ranime une sensation que l’on aura connue lors d’un événement angoissant.
Ou dont on aura « hérité » en quelque sorte dans un contact de proximité.
Les interprétations d’événements présents se font à la lumière du passé. Aussi ridicule que cela paraisse, il arrive que des faits bénins perturbent fortement : le corps soudain s’emplit de détresse comme d’une peur étrangère qui fait … corps avec nous. 
Que ce soit le retard d’un conjoint, le départ d’un enfant, une mère qui oublie notre anniversaire ou notre amoureux la Saint Valentin. Notre « vision » influencée par la mémoire d’un traumatisme réel, qui nous aura plongés dans le noir de l’oubli
et qui se réactive, justifie notre perception négative et nous complaît dans le désespoir.
À défaut de savoir faire autrement, on finit par se persuader de notre abandon. Une mère confiée jadis à une nourrice ingrate en gardera une empreinte inconsciente qui se manifestera comme à son insu par des répercussions inattendues dans ses relations. Craintes, appréhension, désarroi, vertiges suscités en leur temps sont re(s)-suscités. L’expérience se rejoue, provoquant un état de tension disproportionné face à ce qui l’a déclenchée, mais bien réel et qui se transmet de sensibilité à sensibilité.

 

 

Cette émotion incontrôlable, influe sur nos perceptions au point de nous faire croire (non à notre esprit conscient par le biais de  l’intellect mais à notre psychisme par le biais de la mémoire sensible) à notre épuisement, à notre condamnation,
à notre désespérance, à …

Quand c’est notre façon de ressentir qui communique une sensation de trahison, de perte de forces et d’identité  confisquée. 

 

 

 

Paradis perdu

 

Le sentiment d’abandon peut-être aussi l’expression d’un désir lié à la nostalgie d’un paradis perdu.
Souvenir d’une union narcissique (idéalisée et idéalisante)
que le sujet a formée dans sa toute petite enfance avec sa mère, toute relation devient fusionnelle, aspire à l’être ou tend à s’imposer comme telle. 
La séparation est invivable, si ce n’est au prix de tiraillements insensés, de cris, de crises, d’appels qu’aucune réponse ne viendrait jamais satisfaire.
En écho à ce passé image d’une union idéale dont on se refuse (dont on ne parvient) à faire le sacrifice. Comme si l’autre faisait partie de soi-même. Ou n’existait que pour « soi m’aime ».
Mais s’aime-t-on ?
Aime-t-on ?
Lorsque l’on ne supporte pas que l’autre s’éloigne et
lorsqu’on lui rend l’éloignement insupportable ?

Qu’il soit lié à un décès, au départ soudain d’une nourrice ou
à un sentiment diffus, lorsque le désespoir perdure
et plonge dans la mélancolie, il est préférable d’aider, l’enfant réel ou celui qui reste en soi, à assimiler la « réalité pour soi » de ce qui l’a engendré, à la digérer, à la transformer,
 en faire une source d’évolution, car passage obligé, contre lequel on ne peut rien,
si ce n’est contre soi.

 

Souvent le sentiment d’abandon qui s’empare de nous s’accompagne d’une jouissance qui ne s’avouera pas comme telle dans la répétition ou dans l’idéalisation.
C’est là qu’intervient la nécessité d’un appui extérieur, thérapeutique ou amical, qui exhorte à renoncer à l’illusion d’obtenir ce que l’on n’a pas obtenu.
À ne plus se réfugier derrière l’aveuglement dans un passé idéal qui n’aura plus cours.


 

À convertir notre histoire pour la reconstruire sans plus se rattacher à la cause pour justifier un malheur mais approcher celui-ci pour dénouer les tensions, décomposer l’image que l’on a de « soi m’aime ».
Perdre peut-être quelques illusions, mais recouvrir des forces
et s’ouvrir à d’autres horizons.
Une autre illusion ?

Peut-être. Mais en ce cas illusion créatrice, dégagée de l’emprise d’un passé intériorisé qui agite chaque relation de toutes sortes de sensations de l’ordre de l’indicible.
Il faut apprendre à accepter sa partie souffrante, à la nommer, à la reconnaître, à ne plus en avoir honte, à l’appréhender, la comprendre,
la réinscrire dans son histoire au présent, en d’autres  termes.

 

 

 

C’est ainsi que promesses de fidélité, contrats, engagements,
sont parfois bien aliénants et peuvent agir comme des intimations culpabilisantes à la solitude qui interdisent d’aller vers l’autre
(celui du présent) de peur de trahir … l’autre… idéalisé (celui du passé).
Déni colère dépit pardon tristesse reproche acceptation…
Un temps de convalescence s’impose pour traverser différentes étapes avant de parvenir à renoncer à un attachement au passé et à la peur d’abandonner… ceux qui nous ont abandonnés
 !!!

 

Virginie Megglé



                                                                                Castor



Repost0
17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 19:10

Après vous avoir exposé dans l'article "Une seule âme, une seule chair..."
 la vision du mariage selon Swâmi Prajnanpad,
 voici ce que Osho nous dit de l'amour et du mariage.

A tous ceux et celles qui se sentent emprisonnés...


 

 

 

 

« L'amour est comme un oiseau libre d'aller partout,
 le ciel tout entier est sa liberté.
 Vous pouvez attraper l'oiseau,
vous pouvez le mettre dans une belle cage dorée,
et l'on pourrait penser que c'est le même oiseau
que celui qui volait en liberté et qui avait le ciel tout à lui.
Ce n'est le même oiseau qu'en apparence,
 ce n'est pas lui, vous l'avez tué.
 Vous lui avez coupé les ailes.
 Vous lui avez pris son ciel.
 Et les oiseaux se fichent de votre or :
aussi précieuse soit-elle,

votre cage est une prison.

Et c'est ce que nous faisons de notre amour :
nous fabriquons des cages dorées.
Nous avons peur, parce que le ciel est immense,
 peur que l'oiseau ne revienne pas.
Pour le tenir sous contrôle, nous devons l'emprisonner.
 C'est ainsi que l'amour devient mariage.
L'amour est un oiseau qui vole :
le mariage est un oiseau dans une cage dorée.
Et l'oiseau, à coup sûr, ne pourra jamais vous pardonner.
 Vous avez détruit toute sa beauté, toute sa joie,
 toute sa liberté.
Les amoureux ont toujours peur.
 Ils ont peur parce que l'amour vient comme la brise.
Vous ne pouvez le créer, ce n'est pas quelque chose
que l'on fabrique - il vient.
Mais tout ce qui vient de lui-même peut aussi repartir
de lui-même ; c'est un corollaire naturel.
L'amour vient, et les fleurs s'épanouissent en vous,
les chansons vous montent dans le coeur, l'envie de danser...
 mais avec une peur cachée.
Que se passera-t-il si cette brise qui vous est venue,
 fraîche et parfumée, vous quitte demain ?...
 Car l'existence ne se limite pas à vous.
Et la brise n'est qu'une invitée :
elle restera chez vous aussi longtemps qu'elle en aura envie,
et elle pourra partir d'un moment à l'autre.
Ceci crée une peur chez les gens, et ils deviennent possessifs.

On devrait s'aimer, aimer intensément, aimer totalement,
et ne pas se soucier du lendemain.

Si l'existence a été si merveilleuse aujourd'hui,
 faites-lui confiance :
demain elle sera encore plus belle et plus merveilleuse.
 A mesure que grandit votre confiance,
 l'existence se montre de plus en plus généreuse à votre égard.
Elle déversera plus d'amour sur vous.
 Elle fera pleuvoir sur vous encore plus de fleurs
de joie et d'extase.
Aimez intensément, totalement, et vous ne penserez jamais
à créer d'asservissement, de contrat.
 Vous ne penserez jamais à rendre quelqu'un dépendant.
 Si vous aimez, vous ne serez jamais cruel au point de détruire
 la liberté de l'autre.
 Vous l'aiderez, vous élargirez son ciel.
C'est le seul critère de l'amour :
 il donne la liberté,
et il donne inconditionnellement ».


Ce texte illustre le quatrième critère :

« une confiance et une foi complètes en l'autre »

repris par Arnaud Desjardins pour qu'une relation de couple dure

et conduise au bonheur et à l'amour éternel.

La peur (de perdre) et la jalousie sont le poison de l'amour.


Nous ne sommes pas faits pour vivre en cage, mais pour vivre libres.

De même que le dauphin est fait pour fendre l'océan

- et non mijoter dans un aquarium -,

de même que l'oiseau est fait pour embrasser l'azur

- et non se morfondre dans une cage -,

l'homme est fait pour vivre libre et assumer ses désirs.

Pourtant, nous nous emprisonnons et emprisonnons l'autre dans une

multitude de liens, contraintes, obligations, dépendances, conformismes...

Parmi toutes ces attaches, celles qui nous ligotent le plus ne sont pas,

contrairement à ce que nous pensons, extérieures à nous.

Notre vraie prison est intérieure, émotionnelle et mentale.


Osho nous parle ici de l'amour conjugal mais on pourrait étendre cela

à toutes nos relations d'amour avec tous ceux qui nous entourent :

parents, enfants, amis, thérapeutes...


Nous devons nous libérer des liens horizontaux

de dépendance et d'attachement qui nous emprisonnent

pour retrouver notre verticalité (article à suivre)

et nous libérer de notre ego.


Le but de notre incarnation est d'arriver à la réalisation de soi.

Comment y arriver si nous nous enfermons

ou nous laissons enfermer dans une cage?

S'aimer inconditionnellement et aimer les autres inconditionnellement,

c'est se donner à soi-même et donner aux autres

l'occasion de se réaliser pleinement.


 

Aurore

qui vous invite à découvrir cette superbe vidéo sur l'amour


 

 



Repost0
11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 21:31

Le sapin et le pommier



Un jour d'automne, un pommier, mécontent de son sort,
 confia sa déception au "pomiculteur".
La nature avait été injuste envers lui en lui donnant une apparence toute difforme,
 alors que le magnifique sapin qui s'élançait à ses côtés faisait l'envie
de tous les hommes qui, d'années en années, ne cessaient de le décorer
 de magnifiques étoiles illuminées.

Le "pomiculteur" repris alors: "Tu es difforme, c'est vrai.
Mais souviens-toi que tu es un arbre greffé dès ton jeune âge et
que tu rappelles à l'homme qu'il est lui aussi un peuple déformé
par ses fautes et ses faiblesses,
mais capable aussi de donner de bons fruits.

Tu es émondé, c'est vrai aussi, mais c'est pour que tes fruits
n'en soient que plus magnifiques".


Et, parlant de ses fruits, le vieux "pomiculteur" tira une belle pomme du pommier,
sortit son couteau et d'un trait horizontal, la coupa en deux parties égales.
Il montra les deux moitiés au pommier et
pointant avec son couteau l'étoile formée au milieu par les pépins,
il lui dit :

"Tu vois, le sapin a les étoiles qu'on lui ajoute,
mais toi c'est au milieu de toi que tu as tes étoiles.


C'est dans ton cœur même qu'est ta beauté !"

(Auteur inconnu)

 

Ce joli conte nous rappelle notre origine de poussières d'étoiles...

Donnons-nous la peine de regarder au-delà des apparences et des masques


car nous sommes tous beaux à l'intérieur.

 

Aurore

Repost0
10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 10:51


Quand on se retrouve plongé dans un tourbillon
d'énergie indésirable et nocive,
il n'y a rien de mieux que

la nature, la solitude et le silence

 pour retrouver la sérénité et la paix qui émergent
du plus profond de notre être.
Pour demeurer centré, au milieu de la tourmente,
 il nous faut agir avec détachement et

apprendre à "observer" sans "absorber".




Aurore
Repost0
29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 22:01

Le disciple est celui qui accepte d'être démuni face à l'imprévu et qui,
comme le navigateur face à l'océan déchaîné,
commence par lâcher les amarres, baisser les voiles
et attend que le calme revienne peu à peu
pour se remettre à l'ouvrage et continuer d'avancer.
Tous les disciples traversent de telles crises,
des moments où la seule chose à faire est de ne rien faire.

Accepter d'être impuissant face à ses émotions, c'est agir en disciple.
Laissez parler votre cœur.
Ecoutez ce qu'il vous dit au plus profond de vous-mêmes.
Laissez venir les émotions qui sont à l'intérieur de vous.
Toutes les difficultés, toutes les expériences que nous rencontrons
tout au long de notre vie doivent nous servir de point d'appui
pour progresser sur la voie.
C'est à cela que l'on reconnaît le disciple.

Arnaud Desjardins


 

 



Aurore
qui , face à l'océan déchaîné, attend que le calme revienne
 pour continuer à avancer...

 

Repost0

Présentation

  • : Rêve d'envol
  • Rêve d'envol
  • : Castor, Aurore, Amanda ( et d'autres...) vous invitent à partager le fruit de leurs réflexions, de leurs remises en question et de leurs lectures, tout ce qui les aide à progresser sur leur chemin de vie. Tous les sujets traités se recoupent dans une certaine logique. Leur but est l'expression communicative et le partage dans une ouverture d'esprit totale.

Adresse e-mail

Eternelle quiétude





Il a déjà été dit que la quiétude est le langage de Dieu et que toute interprétation autre était fausse. C'est en fait un terme pouvant remplacer celui de paix. Quand nous devenons conscient de la quiétude dans notre vie, nous sommes reliés à la dimension intemporelle et sans forme en nous, à ce qui est au-delà de la pensée, au-delà de l'ego.


Il peut s'agir de la quiétude où baigne le monde de la nature ou de la quiétude dans votre chambre aux petites heures du matin, ou encore du silence entre les mots. La quiétude n'a pas de forme. C'est pour cette raison que nous ne pouvons en devenir conscient par la pensée, puisque la pensée est forme.


Quand on est conscient de la quiétude, c'est qu'on est quiet. Et être quiet, c'est être conscient sans pensée. Vous n'êtes jamais plus essentiellement, plus profondément vous-même que lorsque vous êtes dans cet état. En fait, vous êtes qui vous étiez avant de prendre cette forme physique et mentale, que l'on appelle une personne. Vous êtes aussi qui vous serez une fois que la forme se sera dissoute.


Lorsque vous êtes dans la quiétude, vous êtes qui vous êtes au-delà de votre existence temporelle, c'est-à-dire vous êtes la conscience sans forme, non conditionnée et éternelle.


Eckhart Tolle

 



Archives


Dieu est en vous


Dieu est en vous, lumineux, resplendissant,


éblouissant de la splendeur d'un million de soleils.


Dans la vérité essentielle de votre existence,


ici et maintenant.


L'électricité peut être coupée,


la bougie peut s'éteindre,


vous pouvez être dans l'obscurité totale,


pourtant vous savez que vous êtes là.


Par quelle lumière percevez-vous votre présence ?


Par la lumière de la Conscience.


Cette lumière est Présence de Dieu en vous.


(Swami Chidananda)






La Source du Don 



Vous n'avez pas la vie,


vous êtes la vie.


Rien ni personne ne peut vous l'enlever...


On peut vous enlever ce que vous avez :


vos idées sur la vie,


vos représentations de la vie, vos idoles,


les émotions, les sentiments, les pensées,


les formes que vous prenez pour la vie,


le moi auquel vous vous identifiez :


tout cela vous sera enlevé


mais jamais la vie...


 


Vous n'avez pas la vie,


 vous êtes la vie.


La vie qui court, la vie qui passe,


offrez-lui un siège,


une assise, un souffle, une conscience


où elle puisse se poser,


se reposer...


puis de nouveau se donner...


comme la Source qui a soif d'être bue.

 



L'homme est un être


à qui l'être manque,


dit le métaphysicien.


L'homme est une soif (un désir)


à qui la source (le bon objet) manque,


rappelle le psychanalyste.


L'homme est un être


à qui l'Etre est donné,


l'homme est une soif


à qui la Source est offerte :


s'il la pressent


s'il la veut, la respire


s'il y acquiesce.



             


Mais ce sont là « paroles d'Evangile »


qui ne s'adressent ni au cœur ni à la raison


ordinairement fermée,


mais au cœur et à la raison


qui demeurent dans « l'ouvert »...


dans une autre béance,


une blessure peut-être,


qui accueille l'Impossible Présence...





« Si tu savais le Don de Dieu »,


si tu savais que la Source est en toi...


la Source du Don.



(extrait du livre "Qui aime quand je t'aime"

de C. Bensaid et J.Y. Leloup)



(Le Gange, près de sa Source)





"La Vérité est en vous.

Pour la percevoir,

 il vous faut ouvrir l'oeil intérieur".


(Bouddha)



"Sans connaissance de Soi

on est comme un cadran solaire à l'ombre".

(auteur inconnu)



fleur-de-lotus-rose.jpg


"Rien dans ce monde n'arrive par hasard".

"Dans la vie, tout est signe".

(Paulo Coelho)


Cropcircle.jpg





Que-la-force-soit-avec-vous.JPG

Citations

Rêve d'envol


"Quand notre âme,

tel un cygne,

prend enfin son envol,

elle n'a nul besoin de balises ou de cartes".


(Vijay Batthacharya)




"L'âme s'extirpe de sa chrysalide,

en rêvant qu'elle sera un jour un ange.

Elle le deviendra."


(L.Andréas Salomé)




L'amour


« L'amour est ce qui est...


L'amour constitue la dimension la plus profonde.


On ne peut le créer.


Comme il y a des choses que tu associes


à l'amour,


tu penses qu'elles sont une expression


de ton amour.



Tu ne peux créer l'amour en toi.


tu peux créer certaines choses,


mais tu ne peux créer l'amour.



L'amour, sous sa forme la plus pure,


se rencontre dans le royaume du silence.


Derrière la matière et l'énergie


et derrière toutes les choses que


l'on peut rencontrer


dans les royaumes physique et spirituel,


se trouve l'amour.



L'amour est l'élément fondamental derrière


tout ce qui est...


L'amour est à la fois le commencement et la fin.


L'amour reste la source d'où tout procède


et vers quoi tout se dirige.


Il est l'essence élémentale de l'univers.


Le seul fait de le rencontrer induit en vous


une transformation inéluctable,


car l'amour est constamment changeant


tout en étant immuable. »


(Aigle Volant)





Je suis


"Je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions,

ni mes perceptions sensorielles,

 ni mes expériences.

Je ne suis pas le contenu de ma vie.

Je suis l'espace dans le quel tout se produit.

Je suis la conscience.

Je suis le Présent.

Je suis".

(Eckhart Tolle)




Qui suis-Je?

je ne suis pas mon corps physique

je ne suis pas mes émotions

je ne suis pas mes pensées

ni mes réalisations, ni les biens,

 le pouvoir, les relations,

 les connaissances que j'ai pu accumuler

ni la somme de mes actes, de mes paroles,

 de mes écrits.

je ne suis pas un individu séparé, isolé,

indépendant, autonome, distinct;

je ne suis ni l'observateur, ni l'observé.

je ne suis pas ce tissu de constructions mentales

 que j'appelle moi, la personnalité

 à laquelle je m'identifie.


Je ne me situe pas dans les objectifs à atteindre,

 la performance, la comparaison, les résultats.

je ne suis ni d'une nation, ni d'une famille,

 ni d'un sexe, ni d'un groupe.

Je ne suis pas le « vêtement » temporaire

 que je porte;

je ne suis ni dans le passé, ni dans le futur.


Je suis au Centre du Cercle sans contour délimité.

En somme, je ne suis rien.

Pourtant, étant vide, Je participe du Tout,

Je suis Tout;

Il est en Moi, Je suis en Lui.


Je suis la terre, l'eau, l'air et le feu;

Je suis le ciel, les étoiles, les univers, les galaxies,

 les systèmes solaires, les planètes;

Je suis la nature et la vie, l'arbre, le blé,

 la fleur,  l'animal, le minéral;

Je suis toutes les formes, les couleurs

 et les notes de la gamme;

Je suis énergie, vibration et oscillation;

Je suis le microcosme et le macrocosme;

Je suis tout cela à la fois.


Je suis au-delà du temps et de l'espace;

Au-delà du visible, des sens, du manifesté

 et de la diversité;

Au-delà du bien et du mal, du beau et du laid,

 du féminin et du masculin, de la vie et de la mort;

 de la dualité.

Je suis Totale interpénétration, intégration,

 liaison, unification.

Je suis Un.


Je suis sans forme, sans nom, sans odeur,

 sans goût, sans taille, sans sonorité.

Je suis le non manifesté

et pourtant pleine potentialité;

Je suis toutes les possibilités.


Je suis l'Être Éternellement Présent

Ici et maintenant

Le Commencement et la Fin simultanément

Je suis Conscience

Je suis Amour

Je suis.


(auteur inconnu)




"Tous les chemins du monde m'appartiennent,

tous les horizons, tous les jours et toutes les nuits.

J'ai l'immensité devant moi et derrière moi

s'est écoulée l'immensité...

Au milieu, je suis.

 Et que suis-je ?

Sinon moi-même, immensité.

Autant de chemins que d'instants...

Autant de possibles...

Je peux aller à droite, à gauche, en bas, en haut...

Comment puis-je me perdre ?

Puisque tous les chemins mènent à moi."

(Marc Vella)


goelan.jpg


La Lumière
 

"Vous êtes la Lumière du monde".

(Dieu)



Tes jours auront plus d'éclat que

 le soleil à son midi,

tu brilleras,

comme l'aurore.

(JobXI :17)


"Il ne faut cesser de s'enfoncer dans sa nuit.

 C'est alors brusquement que

 la lumière se fait".

(F.Ponge)


"C'est la nuit qu'il est beau de croire

 à la lumière".

(E.Rostand)


"Seul se lève le jour

pour lequel nous sommes prêts."

(Henry Davie Thoreau)


"C'est quand vous savez

comment comprendre l'amour,

 comment le manifester,

comment le laisser couler à travers vous,

que vous devenez lumineux".

(M.O.Aïvanhov)



aurore-bore.JPG



Le Soi


"Découvrez qui vous êtes,

 et tous les autres problèmes se résoudront

d'eux-mêmes".

(Ramana Maharshi)


"J'ai toujours tenté de trouver une réponse

 à la fameuse question :

 qui suis-je ?

 Et je n'essaie plus.

Ce n'est plus une question :

JE SUIS."

(Paulo Coelho)


"Où cours-tu ?

 Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?"

(Christiane Singer)


"Fais un voyage du moi au Soi, ô ami,

 car par un tel voyage

 la terre devient une mine d'or !...

Purifie-toi des attributs du moi,

afin de discerner ton essence pure !...

Je suis tombé dans l'absence totale du moi

- que je suis joyeux avec le Soi !...

Personne ne trouvera sa route

 vers la Cour de la Magnificence

 jusqu'à ce qu'il soit annihilé"

(Rumi)


gens-ds-d--sert.JPG






Le coeur


Dans votre coeur

se trouve le passage,


un pont de lumière


qui relie ce que vous êtes


à ce que vous n'êtes pas encore.



Mais pour emprunter


ce pont de lumière


il vous faut être vous aussi


une LUMIERE


et seul l'AMOUR


peut vous aider


à le devenir

(Ônajor)
« Un amour qui change l'histoire »



"Le coeur est le lieu où se trouve la paix,

dans la pure Lumière et la pure Conscience"

(Abhinavagupta)


"Ecoute ton coeur.

 Il connaît toute chose,

 parce qu'il vient de l'Ame du Monde

 et qu'un jour il y retournera"

(Paulo Coelho)


"On peut aussi bâtir quelque chose de beau

avec les pierres qui entravent le chemin"

(Goethe)


cailloux.jpg

L'instant présent



"Nous oublions souvent de sentir

 la magie du moment présent

 et pourtant, c'est elle qui bâtit le scénario

de notre vie".

(Michel Bouthot)


"Tout ce que nous cherchons frénétiquement

 dans un illusoire devenir,

 repose au coeur de l'instant,

un instant intemporel.

Quand cette évidence explose en nous,

 comment ne pas éclater

de rire et de joie ?"


"En nous établissant dans l'instant présent,

nous pouvons voir toutes les beautés et

 les merveilles qui nous entourent.

Nous pouvons être heureux simplement

 en étant conscients

de ce qui est sous nos yeux".

(Tich Nhat Hanh)



lac-avec-un-cygne.gif



La  re naissance


"A l'âge adulte,

 nous pouvons revivre notre naissance,

 ouvrir un coquillage,

 accéder à une vision radicalement nouvelle".

(Eduardo Cuadra)


"Acceptez tout ce qui arrive et

 que votre esprit agisse en toute liberté".

(Chuang Tzu)


coquillages-villes-plage-nassau-bahamas-647943.jpg



Le chemin

"Ne crois pas que tu t'es trompé de route

quand tu n'es pas allé assez loin"

(auteur inconnu)


"Empruntez un chemin,

si étroit et sinueux qu'il soit,

 que vous puissiez parcourir dans l'amour et le respect".

(Henry David Thoreau)


"Une fois que nous sommes sur le bon chemin,

 le destin se déroule devant nous,

 tel un glorieux tapis de fleurs".

(auteur inconnu)


"Quand le chemin touche à sa fin,

 changez-en;

 en changeant, vous passerez au travers".

(I Ching)


"Ne suivez pas le chemin qui semble vous porter,

 prenez plutôt par là où il n'y en a pas,

et laissez une trace".

(Ralph Waldo Emerson)



scan0001.jpg



Le mystère



"La plus belle chose que nous puissions éprouver,

c'est le côté
mystérieux de la vie."

(Albert Einstein)


"Ce qu'il y a de beau dans un mystère,

 c'est le secret qu'il contient

et non la vérité qu'il cache."

(Eric-Emmanuel Schmitt)


"Un mystère éternel est une tentation éternelle".

(Zhang Xianliang)


"Les mystères sont des objets de contemplation,

 non des énigmes à élucider"

(André Frossard)


menhir.jpg



La  Vérité

"Tu veux apprendre la vérité de ma bouche

 au lieu d'en faire toi-même l'expérience.

Tu ne découvriras pas la vérité

 dans ce que je dis.

La Vérité ne peut être saisie qu'à travers l'expérience."

(Aigle Volant)


"Quand ce que vous pensez,

ce que vous dites,

 ce que vous faites

 sont en harmonie,

vous atteignez le bonheur"

(M.K. Gandhi)


Roue-Zodiaque-.jpg

Souvenirs d'INDE